Le déséquilibre de tension se calcule comme suit :Si un moteur doit fonctionner avec un déséquilibre de phases supérieur à 1 %, il devra être déclassé conformément au graphique suivant (Figure 7-1).On ne devrait pas faire fonctionner un moteur si le déséquilibre de phases est supérieur à 5 %.En fonctionnement normal, l'écart de fréquence admissible d'un moteur peut atteindre 5 %. Elles représentent environ 5 % des pertes totales.Le rendement des moteurs à induction varie avec la charge. Les moteurs synchrones sont d'un coût nettement plus élevé et ne sont donc utilisés que si leur choix se justifie sur la base des facteurs ci-après :Les moteurs synchrones fonctionnent à la vitesse synchrone sans baisse de vitesse sur toute leur gamme de charges. Vice-versa, la puissance résulte du couple multiplié par la vitesse de rotation. Ces moteurs sont appelés moteurs EPAct. À mesure que le moteur prend de la vitesse, le courant retombe à des valeurs de fonctionnement normales et la tension du réseau se rétablit. Puissance (w) = couple (N.m) * vitesse rotation (Rad/s) Si cette souris exerce un couple de 1 Nm pour faire tourner sa cage a 1 radian/seconde, elle fournit une puissance de 1 watt. Les types de charges sont classés selon différents régimes d'utilisation caractérisant le temps de fonctionnement et les variations de la charge.Trois classes de régimes d'utilisation caractérisent la plupart des charges de moteurs : service continu, service périodique et service intermittent.La plupart des applications de moteurs sont du type à service continu. Les progrès en matière de rendement peuvent entraîner des économies importantes sur le coût du cycle de vie qui comprend le coût d'investissement et les coûts d'exploitation.Des calculs plus complexes engloberaient facteurs d'escompte, inflation, augmentations des prix de l'énergie, etc., qui devraient tous être ramenés à leur valeur actuelle. 19).Dans la norme IEEE 122 méthode B, on détermine les pertes supplémentaires dues à la charge de manière indirecte. La norme CSA C390 (1993) est la norme en vigueur au Canada.Les paragraphes qui suivent présentent d'autres normes de rendement, y compris la norme volontaire NEMA Premium pour des moteurs à rendement plus élevé.Le rendement et les caractéristiques d'un moteur sont déterminés à partir d'essais normalisés.Pour évaluer le rendement d'un moteur, les fabricants utilisent un dynamomètre qui permet de charger le moteur puis de mesurer les puissances d'entrée et de sortie.Trois normes distinctes sont couramment employées pour mesurer le rendement des moteurs :Ces trois méthodologies présentent quelques différences dont la plus importante est la détermination des pertes supplémentaires dues à la charge (réf.

La puissance réactive, qui se mesure en kVAr, ne produit aucun travail mécanique.La puissance mécanique utile est produite par la puissance active fournie par le réseau d'alimentation et se mesure en kilowatts (kW).Le réseau de distribution fournit à la fois la puissance réelle (ou puissance active) et la puissance réactive pour faire tourner le moteur. Toutefois, l'énergie étant l'élément le plus important, la formule ci-dessus permet d'effectuer rapidement des comparaisons simples.Par exemple, un moteur de 10 HP fonctionne pendant 50 % du temps à une puissance moyenne de 7,5 HP. Lors de l'utilisation des unités internationales, la puissance s'exprime en Watt, la vitesse de rotation, plus précisément la vitesse angulaire, s'exprime en radian par seconde et le couple s'exprime en Newton mètre. Par conséquent, il ne serait ni économique ni pratique d'utiliser, pour une tension donnée, des moteurs dépassant une certaine puissance nominale si le diamètre des conducteurs devient trop gros, tant pour l'alimentation qu'à l'intérieur du moteur.Les moteurs monophasés sont spécifiés pour une tension de 120/240 volts à 60 Hz.Les moteurs triphasés de puissance inférieure à 100 HP sont disponibles pour des tensions de 200, 240/460, 460 ou 600 volts à 60 Hz.