Cet exemple n’a rien de piquant. C’est là une chose que la multiplicité des conjonctions rend difficile, ainsi que les phrases qu’il n’est pas aisé de ponctuer, comme celles d’Héraclite ref>L’obscurité du style d’Héraclite était passée en proverbe. ; car la ponctuation, dans Héraclite, est VII. Le fait d’apprendre aisément est agréable pour touffe monde ; or les mots ont toujours une certaine signification et, par suite, tous les mots qui contribuent à nous enseigner quelque chose sont les plus agréables. )Panégyrique, § 89. XIII, p. 570.Le discours devient monotone comme le pas d’un homme qui porte un fardeau.Littéralement : "Souffle d’un vent favorable." Cp. Traduction de "forge of empire" en français. En voici des exemples : — D’après Athénée (Deipnosoph., 1. Bulle propose : Yr‹tth se [t¡toke] et Cobet (nov. Nous avons songé un moment à proposer la correction mim°sai (à imiter), très plausible au point de vue paléographique.Ou équivoques. — (Voir l’éd. Il dit avoir accompli l’action que celui-ci met sur son compte, et il ajoute qu’elle a été nuisible, mais non pas injuste. L’un ou l’autre procédé dépendra du caractère bas ou inconvenant de l’expression. orat., IX, 4.D’où l’expression paivnikòn g¡now, genre péonique, genre de rythme sesquialtère, c’est-à-dire comportant cinq pieds disposés dans le rapport de trois à deux ou de deux à trois. Quant à la plaisanterie (car elle me semble pouvoir être d’un certain usage dans les débats et 1. XI, p. 521, le mot serait d’Anaxandride, poète de la comédie moyenne.Ces éléments sont la clarté, la propriété des termes, la métaphore et l’imageDe même que d’une part et moi de mon côté exigent d’autre part et lui de son côté.Qui embrassent un sens trop étendu. Un autre, c’est d’alléguer que (l’accusateur) a fait la même chicane à d’autres personnes, ou un autre au défendeur, ou bien que d’autres ont été présumés (coupables du même délit) sans être mis en accusation de même que l’orateur aujourd’hui, lesquels ont été reconnus non coupables. …Alurow est dans Eurip., Iph, en Taur., v. 144.Cp. )A celle que l’on avait antérieurement sur le sens de ce motPeut-être faut-il écrire : yr&tt’ ¾se il a joué des airs thraces ? (Hésychius. I. Ces explications données sur ces points, il faut dire en quoi consiste ce qu’on appelle les propos piquants et les mots heureux. X. Il faut toujours que l’expression se rapporte à la personne qui en est l’objet, qu’elle soit correctement appliquée si l’on veut frapper juste, et qu’elle ne soit pas vulgaire ; car ces conditions ne vont pas séparément. X. Si tu veux glorifier (il faut) tirer la métaphore de ce qu’il y a de meilleur parmi les choses du même genre ; si tu veux blâmer, la tirer de ce qu’il y a de plus mauvais. LXXXIV.

rytmiques, p. 302 de Morelli. I. Voici ce qui contribue à l’ampleur de l’élocution donner l’explication d’un nom à la place du nom lui-même ; ne pas dire un cercle, par exemple, mais "un plan situé à égale distance du point central" ; tandis que, pour obtenir la concision, le nom, au contraire, sera mis à la place de l’explication II. Lorsque tu veux produire un effet pathétique, n’emploie pas d’enthymème ; car, ou bien cet effet sera manqué, et l’enthymème sera sans portée. V. Maintenant, il faut répondre d’abord aux équivoques en établissant des distinctions dans une argumentation VI. En poésie, plusieurs éléments amènent ce résultat et sont de mise dans ce genre-là, attendu que l’on voit de plus loin les choses et les personnes dont il est question. Et, de nouveau, le rocher sans honte roulait dans la plaine IV. Or c’est un procédé commun à l’imputation malveillante et à la défense, puisqu’il peut arriver ainsi que le même résultat est obtenu dans une intention différente, en ce sens que celui qui veut incriminer doit prendre en mauvaise part le fait qu’il dégage, et que celui qui veut défendre doit le prendre en bonne part. Il faut aussi parler des épithètes et des métaphores convenables ; cela résultera de l’analogie. En outre, il ne faut pas tirer de loin les métaphores, mais les emprunter à des objets de la même famille et de la même espèce, de façon que, si les choses ne sont pas nommées, on leur donne l’appellation qui se rattache manifestement au même ordre d’idées. La locution "comme ceci et cela" est une hyperbole qui ne diffère que par l’expression. J’appelle condition ce qui fait que par sa vie un homme est tel ou tel ; car les diverses existences humaines ne sont pas dans une condition quelconque. Aussi ne convient-il pas de disserter en vue d’établir un point reconnu, à moins que l’on n’ait pour but de montrer, par exemple, si l’acte en cause a été accompli, qu’il l’a été, mais sans causer de préjudice. 89. C’est ainsi que Prodicus, voyant que ses auditeurs s’endormaient, leur fit remarquer en passant qu’il s’agissait pour eux de cinquante drachmes X. Il est évident que l’on ne s’adresse pas à l’auditeur en tant qu’auditeur, car, dans les préambules, on cherche toujours soit à lancer une imputation, soit à écarter des motifs de crainte :

Les mœurs doivent jouer un rôle dans la narration. IV. En effet, les joueurs de flûte, en préludant, rattachent à l’introduction II.

On a voulu voir, dans ce mot composé, une injure à l’adresse des flatteurs de Denis le Jeune, tyran de Syracuse. Les membres, ainsi que les périodes, ne doivent VII. En effet, un homme inculte et un homme éclairé n’auront pas le même langage ni la même manière de parler. Le point qui vient après celui-là, les faits une fois démontrés, consiste naturellement à les grandir et à les rabaisser ; car il faut nécessairement que les faits accomplis soient reconnus pour que l’on puisse arriver à parler de leur importance ; et en effet, l’accroissement des corps en suppose la préexistence. Lorsque, par conséquent (l’action) interviendra, elle donnera le même résultat que l’hypocritique VII. Sophocle (Philoctète, vers 267).Spengel, sur ce passage, renvoie à Mercurialis, Gymn. Quant à ce qui a pour effet de lui ôter la bassesse et de lui III. Explication conjecturale : Résidant à Troie pendant la guerre, Télamon n’a pas dénoncé les espions que les Grecs introduisaient dans la ville. Du singulier faire le pluriel, à l’exemple des poètes. Mais, dans le discours pur et simple, ces éléments sont beaucoup moins nombreux, car le sujet est moins relevé. dans un langage humble ; et ainsi du reste. I, ch, IX, §§ 33 - 37 (p. 1367 b, 26 - 1368 a, 10).Cp.