extremement malsain, parfois d'un réalisme documentaire, donc culte.
Avec la complicité de Otis Toole, il écume les routes des Etats-Unis, choisissant ses victimes au hasard...
Henry: Portrait of a Serial Killer isn’t only about games of estrangement and implication. We're sorry but jw-app doesn't work properly without JavaScript enabled.
ni bon ni mauvais, tel est son but, mais un film qui marque les esprits, il nous plonge dans l'univers impitoyable et glauque des serial-killers avec brillance.
The one he fancies is not who she appears to be after all.
En effet, la ressemblance physique entre l'acteur et le véritable monstre est troublante, et il s’agit d’une des raisons qui a motivé le réalisateur à le choisir pour entrer dans la peau du tueur en série. Please enable it to continue.
extrêmement malsain, parfois d'un réalisme documentaire, donc culte.
I really wish that there were more movies like "Henry" out there.
ce que jai aimer c que Henry Lee Lucas nest pas forcemment un psychopathe impitoyable mais on voit quil a un coeur
Ex.
Leurs méfaits sanglants sont filmés de façon documentaire par Mc Naughton et nous laissent pantois. Use the HTML below. During a rescue mission into the Amazon rainforest, a professor stumbles across lost film shot by a missing documentary crew.
Suivre son activité With Michael Rooker, Tracy Arnold, Tom Towles, Mary Demas.
Henry : portrait d'un serial killer a été auréolé de succès dans les multiples festivals où il est apparu.
un film modeste qui s'analyse And since he didn't want the X, and there was no NC-17 rating at the time, it was finally released, with no rating, in 1990. Ce truc sans réel scénar ni intrigue ne fait ni chaud ni froid. And this is what the film's detractors obviously can't appreciate.Looking for some great streaming picks? It's the way the material is handled. L'affaire se décanta grâce à l'aide de Chuck Parello, producteur-scénariste-réalisateur américa...
Très bon film et excellente prestation de Michael Rooker.
En effet, bien que le long métrage ait été finalisé en 1986, sa sortie n'a été programmée qu'en 1990 en raison des problèmes de censure dont il a été victime.
Le mérite de ce film c'est de vouloir s'éloigner de l'image "glamour" des tueurs en série que leur a donné Hollywood, en les montrant comme raffinés et considérant le meurtre comme un art, là on les voit comme ils sont réellement, des pauvres types, des médiocres ayant des physiques passe-partout vivant dans un univers froid, glauque, qui tuent anonymement, au gré de leurs envies.
After an odd new medical student arrives on campus, a dedicated local and his girlfriend become involved in bizarre experiments centering around the re-animation of dead tissue.
Petite perle revu récemment avec ma copine et un sacré mal au bide une fois le générique arrivé!