Afficher les profils des personnes qui s’appellent Emna Char. 'There's no difference between kings and slaves, follow science and ignore traditions,' a passage reads.Chargui, who is not in custody, has three weeks to appeal 'This is unfair and unjust ... this proves that there is no freedom here,' she told Reuters from home where she had been waiting for the ruling. 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'We are calling on the authorities to immediately end her prosecution, investigate the worrying death and rape threats she has been receiving, and ensure she is protected.' Emna Charki, a 27-year-old Tunisian charged with offending common decency and incitement to violence, arrives at a court in the capital Tunis on May 28, 2020, for her first trial hearingCourt spokesman Mohsen Dali said the sentence was on charges of inciting hate between religions and races.Saying she was a victim of a 'repressive law' that curtailed free speech, Amnesty International said the prosecution did not allow Chargui's lawyer to accompany her to court, where she was asked about her religious beliefs and mental condition.Amnesty also said that Chargui received 'messages from people threatening to kill or rape her', and that the authorities failed to take action or to investigate the threats. A Tunisian court has sentenced blogger Emna Chargui to six months in prison and a £560 fine for reposting a Facebook joke about the coronavirus written as if it was a Koranic verse. Problème selon le procureur, le texte reprend la rythmique coranique. Condamné pour troubles à l’ordre public, il avait été gracié en 2014.Amnesty international avait appelé fin mai les autorités tunisiennes à abandonner les poursuites dans l’affaire d’Emna Charki, qui illustre selon l’ONG la poursuite des atteintes à la liberté d’expression dans la jeune démocratie tunisienne.Devenez fan sur Facebook pour consulter des articles similairesPerquisition au domicile du ministre délégué au BudgetOL-Bayern: la terrible série d'occasions ratées par Lyon avant le doublé de GnabryLe Liban a "touché le fond" et doit se réformer, dit WashingtonLa voix du corps : la danseuse étoile Dorothée Gilbert invitée du nouveau podcast de ELLESes camarades la traitaient de monstre à l'école, voilà à quoi elle ressemble aujourd'huiCoronavirus. Microsoft est susceptible de recevoir des commissions si vous réalisez un achat après avoir cliqué sur un lien de cet article. 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Elle a été inculpée pour « atteinte au sacré ».Emna Charki, 27 ans, a été reconnue coupable d’atteinte à la religion et d’incitation à la haine après avoir partagé le 4 mai deux paragraphes enluminés comme le texte sacré musulman.Emna Charki a été convoquée dès le 5 mai par la police, et inculpée le lendemain pour « atteinte au sacré », « atteinte aux bonnes mœurs et incitation à la violence ».Condamnée mardi à six mois de prison ferme et 2 000 dinars (650 €) d’amende, elle a dix jours pour faire appel, a précisé le tribunal de Tunis à l’AFP, ajoutant qu’elle restait libre.Arborant un tee-shirt à l’effigie de Che Guevara, Emna Charki a reçu quelques journalistes dans le logement qu’elle et sa mère se préparent à quitter car leur propriétaire a indiqué ne plus vouloir les loger en raison de cette affaire, selon elles.Emna Charki a déploré que les autorités n’aient pas réagi face aux multiples menaces qu’elle a reçues.C’est « comme si rien n’avait changé, dix ans après la révolution, six ans après la Constitution, et après un grand débat sur les libertés individuelles », a-t-elle déploré.Mme Belhaj Hmida a présidé une commission qui avait dressé une liste de lois et décrets à modifier ou annuler afin de mettre en œuvre l’égalité et les libertés individuelles consacrées par la Constitution votée en 2014, dans le sillage de la révolution de 2011.Emna Charki était poursuivie en vertu de l’article 6 de la Constitution qui stipule que « l’État protège la religion ».La loi fondamentale, fruit d’un compromis historique, prévoit que l’État « garantit la liberté de croyance, de conscience » tout en s’engageant à « protéger le sacré ».Avant la Constitution, d’autres condamnations avaient défrayé la chronique, notamment celle d’un jeune Tunisien, Jabeur Mejri, condamné en 2012 à sept ans et demi de prison pour avoir diffusé sur internet des textes et dessins considérés comme insultants pour l’islam.